Je m’appelle Julien Masciotra, j’ai 37 ans et j’habite à Saint-Pierre-en-Faucigny. Originaire de l’Ain, j’ai pris ma première licence d’athlétisme au club US Oyonnax Athlétisme en 1994. Je n’ai quitté ce club qu’en 2009, au début de ma vie professionnelle.
Je pratique la course à pied dans les spécialités du demi-fond, c’est-à-dire sur des distances (pour ma part) allant du 10 km au marathon. Je pratique aussi du cross-country, une course en pleine nature sur du plat ou en montée, de 4 à 12 kilomètres. Le cross-country fait aussi partie des courses que j’affectionne particulièrement, dans la mesure où il s’agit d’une confrontation directe. On ne doit pas se préoccuper du chronomètre, le sens tactique et la gestion de l’effort par rapport au parcours et à ses points forts ont un rôle majeur.
Si les images vous parlent davantage vous pouvez visionner la vidéo de Julien en train de faire de la course à pied au Lac de Passy.
Le dépassement de soi, la rigueur dans la préparation d’un objectif et l’adrénaline procurée par l’effort en particulier en compétition, sont les choses que je préfère.
Après avoir intégré une école d’athlétisme, j’ai pratiqué le cross-country et les courses sur pistes (de 1 500 mètres à 5 000 mètres) pendant de nombreuses années. À mon entrée dans la vie professionnelle en 2010, je me suis progressivement orienté vers les courses sur route, tout en continuant le cross-country pendant la saison hivernale. Pour moi, le marathon est l’aboutissement de la pratique du demi-fond. Le marathon sur route est pour moi la distance la plus mythique. J’ai couru mon 1er marathon en 2017 à Paris.
En 2009, j’ai établi plusieurs de mes records personnels : 8’08 sur 3 000 m, 13’50 sur 5 000 m et 29’35 sur 10 km.
En 2016, j’ai été champion de France de cross-country par équipe.
J’ai établi mon record personnel sur marathon en 2018 à Francfort (2h18’06). Un de mes objectifs principaux est d’abaisser ce record dans les années à venir.
Quel que soit l’objectif, chacun a son niveau, la préparation pour courir un marathon est essentielle. Il est nécessaire d’avoir un programme préétabli, mais adaptable, sur plusieurs semaines en vue de la course. Mais avant tout, le plaisir à l’entraînement et le jour J du marathon, sont la clé de la réussite.
Rejoindre une équipe d’athlètes est toujours source de motivation. L’émulation permet de repousser encore plus ses limites comme au quotidien dans mon travail en tant que chef de projets entretien patrimoine chaussées chez ATMB. Et porter les couleurs de son employeur est une fierté au quotidien. Aussi, les actions environnementales menées par ATMB correspondent à ma pratique qui se fait proche de la nature.
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